Retour sur une année-tounant dans l'immobilier
Un an après le début de la crise sanitaire, le magazine Investir revient sur les conséquences des mesures sanitaires sur le mode de vie des Français et par répercussion sur le marché de l’immobilier.
Le développement du télétravail redistribue les cartes en matière de projet d’achat : que ce soit le lieu (ville ou campagne), la nature du bien (appartement ou maison) ou encore le nombre de pièces.
Un acheteur sur deux cherche un bien plus grand : une pièce de plus ou une maison au lieu d’un appartement. Le prix de l’immobilier en agglomération n’étant pas toujours accessible, ce sont les première et deuxième couronnes des agglomérations qui prennent l’ascendant sur le marché. L’offre se restreint, les maisons se vendent rapidement malgré des prix à la hausse.
En centre-ville, les biens équipés d’un balcon voient leur prix s’envoler (+10% en moyenne).
Sandra Mathorel, dans son article, met l’accent sur le retour des résidences « semi-principales » découpant la semaine entre la ville et la campagne ce que permet le développement du télétravail.
La tendance est à l’achat des biens anciens, délaissant un temps la promotion immobilière des centres-villes. Ces tendances se concrétisent déjà chez les notaires.
Reste à savoir si, au moment de la levée des mesures sanitaires, le marché de l’emploi confirmera ces habitudes d’achat.
Source : Investir
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